Mounjaro : efficacité, effets secondaires et avis médical
L’essentiel à retenir : le Mounjaro (tirzépatide) se distingue par sa double action hormonale (GIP et GLP-1) qui régule la glycémie et la satiété. Ce mécanisme permet une perte de poids pouvant atteindre 20 % de la masse corporelle . Ce médicament injectable nécessite une surveillance médicale stricte en raison d’effets secondaires digestifs fréquents et de contre-indications spécifiques.
Face à la difficulté de stabiliser un diabète de type 2 ou de traiter une obésité sévère malgré une hygiène de vie adaptée, l’impasse thérapeutique semble parfois inévitable. Le Mounjaro (tirzépatide) propose une nouvelle voie en agissant comme un double agoniste hormonal capable de réguler la glycémie tout en modulant la satiété. Nous décrypterons ici son mécanisme biologique précis, ses résultats chiffrés sur la perte de poids comparés aux standards actuels, sans oublier d’aborder les effets indésirables et les contre-indications formelles.
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- Mounjaro : au-delà du diabète, une nouvelle arme pour le poids ?
- Le mécanisme d’action : comment ça marche dans le corps ?
- Efficacité prouvée : les chiffres qui parlent
- Utilisation pratique et effets secondaires : à quoi s’attendre ?
- Risques, avertissements et vision à long terme
- FAQ
⚠️ Mise à jour récente : 9 décembre 2025
Depuis le 9 décembre 2025, la Haute Autorité de Santé (HAS) a confirmé son avis favorable au remboursement de Mounjaro (tirzépatide) dans le traitement de l’obésité. Toutefois, le médicament n’est pas encore remboursé par l’Assurance Maladie.
Selon Le Quotidien du Médecin, cette réévaluation intervient après de nouvelles données cliniques démontrant l’efficacité du Mounjaro chez les patients obèses souffrant de complications comme le syndrome d’apnées du sommeil ou l’insuffisance cardiaque. La HAS a ainsi relevé l’amélioration du service médical rendu (ASMR) au niveau 4 (mineure), soit au même niveau que le Wegovy (sémaglutide).
Le remboursement effectif dépend désormais d’une négociation de prix entre le laboratoire Eli Lilly et le Comité économique des produits de santé (CEPS), qui devrait débuter dans les prochains mois. En attendant, Mounjaro reste disponible en pharmacie uniquement sur ordonnance, mais à un prix libre fixé par les pharmacies.
Mounjaro : au-delà du diabète, une nouvelle arme pour le poids ?
Qu’est-ce que le Mounjaro (tirzépatide) ?
Un stylo injecteur hebdomadaire conçu par Eli Lilly and Company. Son principe actif, le tirzépatide, agit comme un régulateur métabolique puissant. C’est un traitement médical sérieux, pas une simple solution miracle.
En Europe, deux indications précises : équilibrer un diabète de type 2 mal contrôlé et aider à la gestion du poids chez les patients obèses. La prescription intervient toujours en deuxième intention, après 6 à 12 mois d’une première prise en charge et toujours en complément de modifications du régime alimentaire et d’exercice physique.
La particularité : un double agoniste GIP et GLP-1
La nuance biologique majeure de ce traitement ? Le tirzépatide agit en tant que double agoniste des récepteurs GIP et GLP-1. Il imite l’action de deux hormones intestinales naturelles, les incrétines (hormones qui régulent la glycémie après les repas), pour saturer les signaux de satiété.
C’est là qu’il se distingue nettement de ses concurrents célèbres. Des médicaments comme Ozempic ou Wegovy ciblent uniquement le récepteur GLP-1. Mounjaro frappe donc deux cibles métaboliques au lieu d’une seule.
Cette synergie hormonale inédite explique sa puissance clinique. C’est cette double action qui optimise le contrôle de la glycémie et coupe radicalement l’appétit.
Statut en France : prescription et remboursement
La situation a récemment évolué. En juillet 2024, la HAS avait émis un premier avis favorable, mais sans amélioration du service médical rendu (ASMR). Le 9 décembre 2025, la HAS a confirmé son avis favorable et a rehaussé l’ASMR au niveau 4 (mineure), ouvrant la voie à des négociations de prix avec le CEPS dans les prochains mois. Le remboursement effectif n’est toutefois pas encore en vigueur.
L’accès n’est pas ouvert à tous, loin de là. Il concerne l’obésité sévère avec un IMC initial ≥ 30 kg/m², ou > 27 kg/m2 associé à une comorbidité, uniquement après l’échec avéré d’une prise en charge nutritionnelle bien conduite.
Votre généraliste, s’il est formé, peut initier ce traitement car la prescription initiale n’est plus réservée à certains spécialistes.
Le mécanisme d’action : comment ça marche dans le corps ?
Un contrôle puissant sur la glycémie
Le Mounjaro facilite la régulation du sucre sanguin. Dès que la glycémie grimpe après un repas, il ordonne immédiatement au pancréas de libérer de l’insuline. C’est le travail d’équipe principal des hormones GIP et GLP-1.
Et parallèlement ? Il freine la production de glucagon. Le glucagon est l’hormone qui demande au foie de libérer du sucre stocké. Moins de glucagon signifie directement moins de glucose circulant dans le sang.
Le résultat est un meilleur contrôle glycémique, particulièrement visible après les repas.
Action sur l’appétit et la digestion
Le second effet majeur : la gestion de l’appétit. Le Mounjaro cible directement les centres de la faim dans le cerveau pour réduire les fringales et calmer les envies obsessionnelles.
Il ralentit également la vidange gastrique (le temps que met l’estomac à se vider). Concrètement, l’estomac met plus de temps à se vider, ce qui prolonge physiquement la sensation de satiété. Vous vous sentez rassasié bien plus longtemps et, naturellement, vous réduisez les portions.
C’est cette combinaison d’effets — moins d’envies, estomac plein — qui provoque la perte de poids :
- Augmente la libération d’insuline en réponse au glucose
- Diminue la production de glucagon par le foie
- Ralentit la digestion pour une satiété prolongée
- Agit sur le cerveau pour réduire l’appétit
Au-delà de l’appétit : un impact sur le système de récompense
Une piste de recherche interpelle les experts. Des études suggèrent que ces médicaments pourraient agir sur le système de récompense dopaminergique (le circuit du plaisir dans le cerveau). Cela pourrait expliquer pourquoi ils réduisent l’envie irrépressible de manger.
Les chercheurs de Stanford Medicine explorent même leur potentiel pour d’autres dépendances (alcool, nicotine). C’est une perspective qui va bien au-delà de la simple gestion du poids.
Efficacité prouvée : les chiffres qui parlent
Un mécanisme prometteur sur le papier doit faire ses preuves. Et sur ce point, les résultats des études cliniques du Mounjaro sont assez éloquents.
Des résultats très encourageants sur la perte de poids
Regardons de près les résultats du programme SURMOUNT. Ce n’est pas juste une légère amélioration, mais une perte de poids significative observée chez les patients éligibles et traités.
Pour être concret : une perte de poids moyenne pouvant atteindre 20,9 % du poids corporel avec la dose maximale (15 mg) après 72 semaines. Une personne de 104 kg peut perdre jusqu’à 22,7 kg, ce qui change radicalement son profil métabolique.
Dans les études pour la gestion du poids, les utilisateurs de Mounjaro ont perdu en moyenne au moins 15 % de leur poids après 72 semaines, contre seulement 3 % pour le placebo.
Mounjaro face à la concurrence (Ozempic/Wegovy)
Comparons ce qui est comparable : le Mounjaro face au sémaglutide (le principe actif d’Ozempic et Wegovy). Ce n’est pas un hasard si le premier est souvent surnommé le King Kong des médicaments pour le poids.
L’étude SURMOUNT-5 a d’ailleurs confirmé cette supériorité. Elle montre une perte de poids nettement plus importante avec le tirzépatide qu’avec le sémaglutide sur la même période.
| Caractéristique | Mounjaro (Tirzépatide) | Ozempic/Wegovy (Sémaglutide) |
| Mécanisme d’action | Double agoniste GIP/GLP-1 | Agoniste GLP-1 |
| Perte de poids moyenne | jusqu’à ~20 % | jusqu’à ~15 % |
| Indication principale | Diabète T2 / Obésité | Diabète T2 / Obésité |
Et la masse musculaire dans tout ça ?
C’est un vrai sujet d’inquiétude : la perte de masse musculaire. Quand on perd du poids très vite, le corps ne brûle pas que du gras, et c’est un risque à surveiller.
Mais les données de l’étude SURMOUNT-1 sont rassurantes : la perte de poids sous Mounjaro est majoritairement de la masse grasse. Le ratio entre la perte de graisse et la perte de masse maigre est meilleur que lors d’un régime classique seul.
Et gardez toujours en tête de coupler le traitement avec une activité physique régulière, comme la musculation, pour préserver votre capital musculaire.
Utilisation pratique et effets secondaires : à quoi s’attendre ?
L’efficacité est une chose, mais l’expérience au quotidien en est une autre. Passons aux aspects pratiques : comment on le prend, et surtout, quels sont les effets indésirables.
Posologie et mode d’administration
Le traitement repose sur une injection sous-cutanée (sous la peau) à réaliser une fois par semaine. Après une formation adéquate, vous pouvez tout à fait vous l’administrer vous-même à domicile. C’est un geste technique simple qui s’intègre vite.
Un protocole strict de dosage progressif pour votre sécurité. On commence toujours par une dose de 2,5 mg, puis la dose est ensuite augmentée toutes les 4 semaines.
- Semaines 1-4 : 2,5 mg
- Semaines 5-8 : 5 mg
- Augmentation par paliers de 2,5 mg toutes les 4 semaines
- Dose maximale : 15 mg
Les effets secondaires les plus courants
Soyons directs : les effets secondaires gastro-intestinaux sont très fréquents avec cette molécule. Les patients rapportent souvent des nausées, diarrhées, vomissements et de la constipation. Les études montrent d’ailleurs que les nausées touchent entre 12 % et 22 % des patients traités.
Ces effets sont généralement légers à modérés dans la majorité des cas. Ils surviennent surtout au tout début du traitement ou juste après une augmentation de la dose, le temps de l’adaptation.
Bonne nouvelle : ils tendent à s’améliorer voire disparaître après quelques semaines de traitement.
Interaction avec d’autres médicaments
Un risque que beaucoup ignorent : le Mounjaro peut réduire l’efficacité des pilules contraceptives orales. C’est un point à ne pas négliger si vous souhaitez éviter une grossesse non désirée durant le traitement.
Cela s’explique simplement : le ralentissement de la vidange gastrique peut affecter l’absorption correcte de la pilule par l’organisme. Votre médecin vous expliquera les ajustements à adopter pour utiliser en toute sécurité le Mounjaro et votre contraceptif.
Risques, avertissements et vision à long terme
Au-delà des nausées passagères, il existe des risques bien plus sérieux. Une question revient aussi systématiquement : que se passe-t-il vraiment si on arrête tout ?
Les avertissements et contre-indications sérieuses
La FDA a imposé son avertissement le plus sévère, le « Boxed Warning ». Des études sur les rats ont mis en évidence un risque de tumeurs thyroïdiennes (cellules C). Si le risque chez l’humain reste inconnu, cette donnée est prise très au sérieux.
D’autres complications graves, bien que plus rares, peuvent survenir : pancréatite aiguë, troubles de la vésicule biliaire ou problèmes rénaux. Des réactions allergiques sévères sont également possibles.
Votre historique médical dicte la conduite à tenir. Contre-indications absolues :
- Antécédents personnels ou familiaux de carcinome médullaire de la thyroïde (CMT)
- Syndrome de néoplasie endocrinienne multiple de type 2 (NEM 2)
La recherche continue d’avancer, mais la vigilance reste de mise.
L’angle mort : que se passe-t-il à l’arrêt du traitement ?
Non, Mounjaro n’est pas une baguette magique définitive. C’est un traitement chronique. Le considérer comme une solution temporaire est une erreur fréquente.
Les données de l’étude SURMOUNT-4 sont sans appel : l’arrêt du médicament entraîne une reprise de poids significative.
Le maintien des résultats dépend souvent de la poursuite du traitement. Mais les changements de style de vie avec la mise en place d’une activité physique régulière et d’une alimentation adaptée restent le socle indispensable.
Un traitement à ne jamais prendre à la légère
Ce n’est pas un produit de confort. Mounjaro est un médicament puissant qui impacte votre physiologie. Son utilisation exige une stricte surveillance médicale pour éviter les effets indésirables et les dérives graves.
Ne cédez jamais à l’automédication ou aux achats sur des circuits parallèles. Les risques pour la santé sont immédiats et les contrefaçons souvent dangereuses. La discussion avec un médecin est la seule voie à suivre.
Si le Mounjaro marque un tournant thérapeutique grâce à son double mécanisme, il ne constitue pas une solution miracle. Son efficacité durable repose sur une prise en charge globale incluant alimentation et activité physique. Son utilisation nécessite impérativement un suivi médical strict pour garantir votre sécurité.
FAQ
Mounjaro vs Ozempic : quelles sont les différences réelles ?
La différence fondamentale réside dans leur mécanisme d’action. Ozempic (sémaglutide) appuie sur une seule pédale de frein pour l’appétit (le récepteur GLP-1), tandis que le Mounjaro (tirzépatide) appuie sur deux pédales simultanément : le GLP-1 et le GIP. Cette double action fait du Mounjaro un médicament offrant souvent une efficacité supérieure sur la régulation de la glycémie et la perte de poids par rapport aux traitements ne ciblant qu’une seule hormone.
À quels effets secondaires s’attendre avec le Mounjaro ?
Le corps a besoin d’un temps d’adaptation. Les effets les plus fréquents sont d’ordre digestif : nausées (touchant jusqu’à 22 % des patients), diarrhées ou constipation. Ces symptômes sont généralement transitoires et surviennent surtout au début du traitement ou lors de l’augmentation des doses. Point de vigilance important pour les femmes : veillez à bien respecter les précautions d’administration du Mounjaro, à distance de la prise de la pilule contraceptive orale.
Peut-on se procurer Mounjaro sans ordonnance ?
La réponse est un non catégorique. Le Mounjaro est un médicament sur prescription médicale stricte (liste I), qui nécessite un suivi régulier pour gérer le dosage et surveiller les effets indésirables. Acheter ce type de produit sans ordonnance, notamment sur internet, vous expose à des risques graves pour votre santé (produits contrefaits, dosage inadapté). Ne jouez jamais avec votre santé sans l’avis d’un médecin.
Non, le Mounjaro n’est pas encore remboursé par la Sécurité sociale.
Toutefois, depuis le 9 décembre 2025, la HAS a confirmé son avis favorable au remboursement avec une ASMR de niveau 4 (amélioration mineure). Des négociations de prix avec le CEPS (Comité économique des produits de santé) devraient débuter dans les prochains mois pour déterminer les conditions du remboursement futur.
Quel est le prix du Mounjaro ?
Le prix du Mounjaro est libre et fixé par les pharmacies. Il représente un coût mensuel conséquent, souvent de plusieurs centaines d’euros, entièrement à votre charge. Renseignez-vous directement auprès de votre pharmacien, car les tarifs peuvent varier d’une officine à l’autre.
Quelle perte de poids espérer en moyenne avec ce traitement ?
Les résultats des études cliniques sont particulièrement marquants. Dans l’étude SURMOUNT-1, les patients sous la dose maximale (15 mg) ont perdu en moyenne 20,9 % de leur poids corporel après 72 semaines. Pour donner un exemple concret : une personne de 100 kg pourrait perdre environ 20 kg. C’est une efficacité nettement supérieure à ce que l’on observait avec les générations précédentes de médicaments, à condition bien sûr d’y associer des mesures hygiéno-diététiques.
Que se passe-t-il si j’arrête de prendre Mounjaro ?
L’obésité est une maladie chronique, un peu comme l’hypertension. L’étude SURMOUNT-4 a montré qu’à l’arrêt du traitement, les patients reprennent une grande partie du poids perdu (environ 14 % de reprise en un an). Le médicament agit comme une béquille métabolique : si on l’enlève sans avoir ancré de nouvelles habitudes solides, les mécanismes de la faim et du stockage reviennent à leur état initial.
Mounjaro ou Wegovy : lequel est le plus efficace ?
Les données scientifiques penchent en faveur du Mounjaro. L’étude comparative directe SURMOUNT-5 a montré que le tirzépatide (Mounjaro) entraînait une perte de poids supérieure à celle du sémaglutide (Wegovy/Ozempic). Grâce à son mécanisme de double agoniste, il semble offrir une action plus puissante sur la perte de poids globale, bien que le choix entre les deux doive toujours se faire au cas par cas avec votre médecin.
Au bout de combien de temps le Mounjaro fait-il effet ?
L’effet sur l’appétit se fait souvent sentir dès les premières injections. Mais la perte de poids est un processus progressif. On commence toujours par une petite dose (2,5 mg) pendant 4 semaines pour habituer le corps, avant d’augmenter progressivement. Les résultats significatifs sur la balance s’observent généralement après quelques mois, une fois les doses thérapeutiques atteintes (10 mg ou 15 mg). La patience est ici votre meilleure alliée.
Sources utilisées pour la rédaction de l’article :
- Haute Autorité de Santé (HAS) – MOUNJARO (tirzépatide) – Obésité – Avis favorable au remboursement, juillet 2024
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3538381/fr/mounjaro-tirzepatide-obesite - Le Quotidien du Médecin – Mounjaro : la HAS révise à la hausse l’amélioration du service médical rendu dans l’obésité, 9 décembre 2025
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actu-medicale/mounjaro-la-has-revise-la-hausse-lamelioration-du-service-medical-rendu-dans-lobesite - ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) – Analogues du GLP-1 indiqués dans le traitement de l’obésité : l’ANSM fait évoluer leurs conditions de prescription et de délivrance, 20 juin 2025
https://ansm.sante.fr/actualites/analogues-du-glp-1-indiques-dans-le-traitement-de-lobesite-lansm-fait-evoluer-leurs-conditions-de-prescription-et-de-delivrance - VIDAL – MOUNJARO : nouveau médicament injectable indiqué dans le traitement du diabète de type 2 et de l’obésité, 19 novembre 2024
https://www.vidal.fr/actualites/31058-mounjaro-nouveau-medicament-injectable-indique-dans-le-traitement-du-diabete-de-type-2-et-de-l-obesite.html - Caducee.net – Obésité sévère : Mounjaro remboursé après échec nutritionnel et prescription spécialisée – décryptage de l’avis HAS, 2024
https://www.caducee.net/actualite-medicale/16721/obesite-severe-mounjaro-rembourse-apres-echec-nutritionnel-et-prescription-specialisee-decryptage-de-l-avis-has.html - Caducee.net – Obésité : Mounjaro® surclasserait Wegovy® dans la perte de poids (étude SURMOUNT-5), 2025
https://www.caducee.net/actualite-medicale/16586/obesite-mounjaro-surclasserait-wegovy-dans-la-perte-de-poids.html - Ameli.fr – Surpoids et obésité de l’adulte : suivi, médicaments et chirurgie, 2025
https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/surpoids-obesite-adulte/traitement-medicamenteux-chirurgical - Le Quotidien du Médecin – Obésité : le tirzépatide se révèle supérieur au sémaglutide chez les patients sans diabète, 2025
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actu-medicale/medicament/obesite-le-tirzepatide-se-revele-superieur-au-semaglutide-chez-les-patients-sans-diabete
